Selon un sondage réalisé en 2014 par Opinion Way pour le Nouvel Observateur et Europe 1, douze millions de Français souffrent d’insomnie, soit 20 à 30% de la population, tous âges confondus.
Lorsque l’on sait que le sommeil est un élément fondamental de notre bien-être permettant la récupération de l’organisme, on comprend aisément les enjeux de santé publique que posent les troubles du sommeil.
Les perturbations du sommeil ont des origines diverses mais une étude publiée en 2003 par Psychosomatic Medicine a montré que les personnes souffrant d’insomnies dite “primaire” c’est à dire sans cause précise expliquée, ont surtout du mal à gérer leur stress, quel que soit son intensité. Il apparait également, dans cette étude, que ces personnes accordent plus d’importance aux évenements négatifs de leur vie et perçoivent donc celle-ci comme stressante. Cette tendance a été confirmée en 2010 par l’INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé, qui a établi qu’un Français sur trois associait ses troubles du sommeil à une manifestation de son stress.
Dans ce contexte, il apparait évident que la Sophrologie a un rôle majeur à jouer pour permettre à des millions de femmes, hommes et même enfants de retrouver un sommeil de qualité.
La Sophrologie offre en effet toutes les clefs pour améliorer en priorité la qualité de vie en journée qui, comme on le sait, impacte la qualité de la nuit et donc la qualité du jour suivant.
Les traits communs entre toutes les personnes souffrant de troubles du sommeil est un état de fatigue physique et psychique avancé et qu’elles n’arrivent plus à gérer leur quotidien.
La gestion du stress par la sophrologie va donc apporter un meilleur sommeil et un bien-être salutaire.